Format de capteur numérique, dont le nom est tiré du format de film argentique APS, au rapport 16/9, 16,7 x 30,2 mm, lancé en 1996 sans réel succès.
L'APS-C argentique, recadrage du premier, était au rapport 2/3 comme le 24 x 36, soit un format 16,7 x 25,1 mm.
l'APS-C numérique reste approximativement sur ces bases, bien qu'il diffère d'un fabricant à l'autre.

La conséquence de ce format plus petit est une incidence sur la focale utilisée.
A focale égale, on appliquera un coefficient multiplicateur pour avoir son équivalence de focale en 24x36.

L'APS-C chez Nikon, nommé format DX, a un coefficient de 1,5 (l'utilisation d'une focale de 24 mm sera équivalente à un 35 mm pour un 24x36).
Une variante, L'APS-H, chez Canon  a un coefficient de 1,3. 

 

 

La balance des blancs consiste à étalonner, à équilibrer, un périphérique pour que son rendu chromatique soit le plus neutre possible.

Pour un appareil photo numérique, comme un caméscope, on va l'équilibrer en fonction de la variable que représente la source de lumière principale, donc sa température de couleur : lumière du jour standard à 5500 k, ombre à 6500 k,...

En pratique, comme la (les) source de lumière et son (leurs) spectre sont généralement variables, comme la lumière du jour ou des lumières artificielles, le mode automatique s'en sortira mieux dans la plupart des cas.

Si vous êtes dans des conditions d'éclairage dont la nature spectrale est une constante, alors vous pouvez effectuer une balance des blancs manuelle, avec une charte que l'on appelle un gris neutre, à défaut une feuille blanche, mais elle a de forte chance de ne pas être parfaitement neutre (azurants).

D'autre part, l'enregistrement en format Raw permet de corriger cette balance à posteriori de manière logicielle.

Enfin, la balance des blancs se définit en début de calibration pour un écran d'ordinateur.